Le vintage, l’expertise de la pièce unique et rarissime, est bien réservé aux guerrières de la mode. Il y’a quelques années, j’ai découvert le vintage chez Guérrisol, et depuis je ne compte plus les heures passées à chiner. Et souvent en compagnie de mes copines qui affichent sans vergogne leur passion pour la fripe et la récup. Le vintage offre à ses adeptes un espace de créativité, dans lequel elles peuvent réinventer le vêtement, et lui donner un second souffle. Sa philosophie : l’inventivité à la place du porte-monnaie. Piquer dans un passé métissé une pièce de chaque époque. J’ai posté dernièrement un texte sur les kitten heels, qui suggère de piocher dans des bouts d’espace et de temps, afin de mâtiner son propre style. De la robe pailletée des 20s, aux épaulettes surdimensionnées des 80s, l’éventail est large. Et si la mode sur les podiums réitère le passé de manière décennale et anachronique - simplement parce qu’on a tout vu, et qu’on connaît tout - le vintage constitue un espace de communication entre des fragments spatio-temporels, dont la connexion n’était pas prédéterminée.
Une source d'inspiration au quotidien: la rue et les photos de streetstyle. L'idée de faire un blog là-dessus me trottait dans la tête depuis un bon moment. Et puis il y'a eu le Sarto, et Garance Doré (évidemment).
robe: vintage chez Guérrisol
blazer: urban outfitters
shoes: maje
sac: chanel customisé
robe: vintage chez Guérrisol
blazer: urban outfitters
shoes: maje
sac: chanel customisé
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